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zeev sternhell - Page 2

  • Généalogie du fascisme français...

    Les éditions du Lore viennent de rééditer un opuscule de Robert Steuckers et Armin Mohler intitulé Généalogie du fascisme français - Dérives autour des travaux de Zeev Sternhell. Publiciste et essayiste suisse, Armin Mohler (1920-2003) est l'auteur de l'ouvrage fondamental La Révolution conservatrice en Allemagne 1918-1932 (Pardès, 1993). Grand connaisseur des penseurs non-conformistes européens, Robert Steuckers a récemment publié La révolution conservatrice allemande (Lore, 2014).

     

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    " Dans cet opuscule, Armin Mohler nous propose une recension exhaustive du livre Ni droite ni gauche. L’idéologie du fascisme en France du professeur de politologie israélien Zeev Sternhell et qui parut à Paris en 1983 non sans susciter un vif débat.

    Robert Steuckers, toujours autour du travail de Sternhell, nous dresse une synthèse de la généalogie du fascisme français en recourant à des figures telles que le général Boulanger, Auguste Blanqui, Georges Vacher de Lapouge, Arthur de Gobineau, Gustave Le Bon, Hippolyte Taine, Jules Soury, Maurice Barrès ou encore Charles Maurras.

    Un petit ouvrage qui démontre au lecteur que le fascisme est une idéologie comme les autres et non une aberration vis-à-vis de lois de l’histoire soi-disant infaillibles. "

     

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  • Maurice Barrès et le nationalisme français...

    Les éditions Fayard rééditent dans leur collection de poche Pluriel Maurice Barrès et le nationalisme français, premier des essais de l'historien israélien Zeev Sternhell qui vient illustrer sa théorie, vivement contestée, de la matrice française du fascisme. Dans la continuité de cet ouvrage, on pourra également lire avec intérêt du même auteur La droite révolutionnaire 1885-1914 - Les origines françaises du fascisme et Ni droite ni gauche - L'idéologie fasciste en France, plusieurs fois réédités.

     

    "Le premier livre de Zeev Sternhell est devenu dès sa parution un ouvrage de référence. Maurice Barrès et le nationalisme français constitue à la fois une étude du cheminement intellectuel d'une des figures majeures de la vie culturelle et politique du tournant du siècle, et une réflexion sur les années formatrices de la France contemporaine.Cet ouvrage campe Barrès dans son contexte intellectuel et politique.
    Figure éminemment moderne, admirablement adaptée à la politique des masses, il fut l'un des premiers intellectuels et hommes politiques français à avoir compris la puissance mobilisatrice d'un « socialisme nationaliste », concept qu'il lance en 1898. Il est aussi l'un des pionniers de l'antisémitisme politique, dont il a fait une arme de combat d'une extraordinaire efficacité. L'œuvre de Barrès est d'autant plus significative qu'elle représente à la fois les forces profondes qui façonnent l'évolution intellectuelle de la France et celles qui travaillent l'ensemble de l'Europe."

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  • Fascisme français : la controverse...

    Les éditions du CNRS viennent de publier Fascisme français ? - La controverse, un ouvrage collectif dirigé par Serge Berstein et Michel Winock, qui vient apporter une nouvelle pièce à la polémique entamée il y a plus de trente ans à la suite de la publication par l'historien israélien Zeev Sternhell  de La droite révolutionnaire (1885-1914). Les origines françaises du fascisme (Seuil,1978) et de Ni droite ni gauche, l'idéologie fasciste en France (Seuil, 1983).

     

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    " La France a-t-elle été le laboratoire du fascisme ? C'est la thèse défendue depuis trente ans par ad hominem, analyses historiques et calomnies, interrogations sur l'utilisation des archives et partis pris idéologiques. Au-delà des querelles de personnes, et en se limitant strictement à la discussion intellectuelle, Non, le fascisme ne prit jamais en France l'allure d'un mouvement de masse. Et, s'il y eut bien une "imprégnation fasciste" dans les années 1930, elle fut surtout le fait d'intellectuels dont Sternhell grossit démesurément l'influence pour les besoins de sa démonstration. Un décryptage salutaire par des auteurs incontestables. "

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  • Ni droite, ni gauche !...

    Les éditions Gallimard rééditent dans leur collection de poche Folio histoire Ni droite, ni gauche - L'idéologie fasciste en France, le classique de l'historien israëlien Zeev Sternhell. Cette nouvelle édition est une version considérablement enrichie de cette œuvre essentielle qui a suscité de larges débats lors de sa parution au début des années 80.

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    "Rarement livre aura à ce point été au cœur de tous les grands débats historiographiques, intellectuels et politiques depuis sa première parution en 1983. Il n’empêche : malgré la virulence du front du refus opposé dès l’origine par certains historiens, il s’est imposé comme une des références majeures pour l’histoire du fascisme et de la catastrophe européenne du XXe siècle.
    De quoi s'agit-il?
    Enfermés dans le schéma des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), nombre d’historiens soutenaient que la France avait été, par sa culture républicaine, rationaliste, universaliste et humaniste, immunisée contre le fascisme ; en sorte que le régime de Pétain, appuyé sur l’Action française, était un ultime sursaut de la droite légitimiste.
    Zeev Sternhell fait exploser littéralement ce mur de l’oubli. D’abord, en révélant l’existence en France dès le XIXe siècle d’une droite révolutionnaire, organiciste, particulariste, irrationaliste, antidémocratique et antihumaniste (La Droite révolutionnaire 1885-1914. Les origines françaises du fascisme, Folio histoire n° 85). Puis, avec cet ouvrage, en mesurant l’ampleur, dans l’entre-deux-guerres, de la contamination des intellectuels – quand bien même l’occupation nazie en fera basculer plus d’un dans la Résistance – par cette droite révolutionnaire et sa révolte contre la République et la démocratie.
    Vichy, régime à beaucoup d’égards plus brutal et sanguinaire que le fascisme italien, est un pur produit de l’histoire nationale ; son essence se trouve dans cette droite révolutionnaire qui réussit à légitimer chez les meilleurs esprits l’idée qu’il fallait inventer une autre forme de communauté nationale autour du Chef et des chevaleries d’experts. La guerre froide et l’enrôlement des intellectuels dans les deux camps effaceront chez les uns le souvenir des ces textes, voire blanchiront d’authentiques collaborateurs en penseurs libéraux."

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  • Pas d'union nationale possible ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Georges Feltin-Tracol, cueilli sur Europe Maxima et consacré à une intéressante réflexion sur les mirages de l'union nationale... Auteur de plusieurs ouvrages, Georges Feltin-Tracol a notamment publié Orientations rebelles (Heligoland, 2009) et Réflexions à l'est (Alexipharmaque, 2012).

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    Pas d'union nationale possible !

     

    La dernière campagne présidentielle marquée par l’élection du socialiste François Hollande a confirmé une triste habitude. Lors de l’entre-deux-tours et dans l’attente fatidique du résultat du 6 mai, une partie de ce que les commentateurs appellent la « droite de conviction » s’accoquina au sarközysme déclinant. Le désormais célèbre numéro de Minute (1) dans lequel s’exprimait le renégat occidentaliste Gérard Longuet témoigne pleinement de cette affligeante dérive.

    Cette tendance ne remonte pas au soir du 22 avril 2012. Quand on se penche sur cette frange droitière attirée par les sirènes sarközystes, on y retrouve sans surprise l’éternelle mouvance nationale, catholique, conservatrice et libérale qui se manifeste depuis deux siècles au côté de l’orléanisme félon (pléonasme !), des fusilleurs des Canuts lyonnais de 1831, des massacreurs des ouvriers parisiens de juin 1848, des assassins de la Commune de 1871, de Guizot, de Cavaignac, du « Parti de l’Ordre », de Thiers… Ce courant s’est maintenu jusqu’à nos jours par des travestissements successifs, des radicaux aux « nationaux » en passant par les opportunistes gaullistes qui soutinrent Pinay contre l’avis de De Gaulle en 1951 (2).

    Comme pour la présidentielle, et à l’exception de quelques situations particulières, les législatives n’ont pas favorisé la moindre esquisse d’une quelconque « union nationale » contre Hollande entre une « droite » institutionnelle faillie et une opposition « mariniste » ou « frontiste ». La présente droite, celle du « Siècle », aimerait principalement récupérer les électeurs et, peut-être, les cadres de « Marine », mais surtout pas les militants et leurs idées. Elle mise pour cela sur la complicité des « droitards » qui devraient comprendre que, contrairement à ce que disent les médias officiels, le vote en faveur de Marine Le Pen n’est « plus seulement un vote de sanction ou d’avertissement mais de plus en plus un vote d’adhésion (3) ». Entre cet électorat relativement aisé, conservateur, âgé, et l’électorat mariniste, plus jeune, plus féminisé, plus actif, existe dorénavant une véritable béance géographique, culturelle, sociale et générationnelle  et ce ne sont pas les appels intéressés à l’« union nationale » qui la combleront. Une telle perspective serait même la pire des choses.

    L’histoire politique française montre que l’union nationale tant en période électorale qu’en temps de guerre nuit toujours à ce que l’historien israélien des idées Zeev Sternhell a nommé la « droite révolutionnaire » (4) et qu’il serait préférable d’appeler « radicalités non-conformistes ». Doit-on rappeler que l’« Union sacrée » de l’été 1914 à laquelle se soumit Charles Maurras entama la longue fin de l’Action française (5) ? Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les dissidents tant à Alger (Henri Frenay) qu’à Vichy avec « les non-conformistes des années 1940 » (6) se retrouvèrent écartés au profit des communistes, des technocrates et des politiciens revenants de la IIIe République. Pendant la Guerre d’Algérie, de nombreux « révolutionnaires de droite » apportèrent leur soutien au résident de Colombey-les-Deux-Églises avec le dépit qui en résulta. À chaque fois, la « droite révolutionnaire » est flouée. Il est temps que cessent ces tromperies. Plutôt que d’être les auxiliaires zélés de la Banque et de la Bourgeoisie, les milieux militants identitaires devraient développer un discours radical cohérent et total.

    Des exemples étrangers récents démontrent la pertinence de ce positionnement. En Grèce, le L.A.O.S. (Alarme orthodoxe populaire) de Georgios Karatzafaris participa un trimestre au gouvernement d’union nationale de Loukas Papadimos en compagnie de Nouvelle Démocratie (droite) d’Antonis Samaras et du P.A.S.O.K. (socialiste). Mais, face à l’exaspération populaire croissante, les ministres du L.A.O.S. démissionnèrent du gouvernement avant l’approbation d’un nouveau plan d’austérité, le 10 février 2012. Toutefois, l’un d’eux, Makis Voridis, quitta son parti pour Nouvelle Démocratie. Il sauva ainsi son siège de député, car, aux législatives du 6 mai 2012, les citoyens désavouèrent la décision de Karatzafaris en ne renouvelant aucun mandat du L.A.O.S. au Parlement. Près de 7 % des Grecs préférèrent en revanche voter pour L’Aube dorée de Nikolaos Michaloliakos au programme détonnant. Les nouvelles législatives du 17 juin dernier ont confirmé l’audience du mouvement radical grec malgré une intense campagne d’hostilité médiatique (7).

    En Italie, les dernières élections municipales partielles ont concerné une dizaine de millions d’électeurs. Elles ont vu l’effondrement de la Ligue du Nord d’Umberto Bossi et le surgissement d’un singulier mouvement « anti-politique ». Plus d’une décennie d’entente étroite et de compromissions multiples avec le parti libéral-conservateur de Silvio Berlusconi a gravement perturbé le fonctionnement interne de la Lega Nord. Fort opportunément, des scandales financiers viennent d’éclabousser Bossi et ses proches. Son fils Enzo – qu’il surnomme « la Truite » du fait de son triple échec au bac (!) – s’était acheté un diplôme universitaire en Albanie et plusieurs belles voitures aux frais du parti régionaliste padanien. La vice-présidente liguiste du Sénat avait, elle, offert à son jeune amant un appartement et de l’argent venu des contribuables.

    Les électeurs agacés ont désavoué la Lega qui perd de nombreuses mairies et deux tiers des suffrages ! Désabusés, les Italiens qui ne se sont pas abstenus ont distingué le Mouvement Cinq Étoiles de l’humoriste Giuseppe « Beppe » Grillo. Provocateur, adversaire véhément de la partitocratie, contempteur des institutions, chantre de la démocratie directe, partisan de la sortie de la Péninsule de l’euro, les médias du Système catalogue Beppe Grillo parmi les « néo-populistes ».

    On pourrait voir dans le phénomène Grillo une résurgence du qualqunisme (8). Ce qui se déroule en Italie a souvent des répercussions en Europe. Observant les résultats du premier tour de la présidentielle française de 2012, le géographe chevènementiste Christophe Guilluy, auteur de Fractures françaises, estime qu’« au XXIe siècle, on doit tenir un discours à la fois sur la dimension sociale et identitaire. Quand vous ne tenez qu’un discours sur le social, vous restez bloqué dans les années 1980. C’est cela que Jean-Luc Mélenchon a payé dans les urnes (9) ». Or, en Italie, les appels de Beppe Grillo sont simultanément identitaires (il est contre la réforme prévue du code de la nationalité qui abandonnerait le droit du sang pour celui du sol, il refuse l’immigration de peuplement et soutient la fermeture des bases étatsuniennes), sociaux (il conteste l’inquisition fiscale, le primat des banques et les délocalisations) et écologiques (il défend un programme ambitieux de sortie du nucléaire et de développement des énergies renouvelables).

    Au lieu de célébrer une hypothétique union nationale avec des dignitaires droitards à l’esprit bourgeois, la « radicalité non-conformiste » devrait s’inspirer de Grillo et soumettre à la population des thèmes radicaux identitaires, solidaristes et écologiques. L’occasion est propice, surtout depuis que « la gauche n’est plus crédible sur la question sociale (10) ». Certains bons (et simples ?) esprits parleront d’« irréalisme intello ». Écartons d’une maine ferme leur jugement stupide et toutes leurs vieilles lubies modernistes, libérales et conservatrices. Les simplets du national-libéralisme auront alors beau jeu de crier au sectarisme et à la trahison quand la « Patrie » est en danger. Leur vision de la patrie n’est pas la nôtre. Abandonnons donc les chimères démodés et ouvrons avec une joie dionysiaque les portes du temple de Janus, car on sait que l’Hexagone sera, demain, la Grèce et, après-demain, la Bosnie des années 1990.

     

    Georges Feltin-Tracol (Europe Maxima, 1er juillet 2012)

     

     

    Notes

    1 : Minute, n° 2562, du 2 mai 2012.

    2 : Il importe cependant de distinguer les personnes qui ont appelé à voter pour le président sortant sans le moindre espoir de retirer un quelconque bénéfice de celles capables de réaliser à la base un « front des droites » dans une perspective tactique victorieuse pour les élections législatives. On y reviendra…

    3 : Françoise Fressoz, « Le coup de semonce de “ la France des invisibles ” », dans Le Monde, 24 avril 2012.

    4 : Zeev Sternhell, La droite révolutionnaire. Les origines françaises du fascisme 1885 – 1914, Le Seuil, coll. « Histoire », 1978.

    5 : Cf. Georges Feltin-Tracol, « Les trois erreurs de Charles Maurras », dans Flash, n° 71, le 28 juillet 2011, ensuite mis en ligne sur Vox N.-R., le 14 août 2011, toujours consultable.

    6 : Cf. Michel Bergès, Vichy contre Mounier. Les non-conformistes face aux années quarante, Économica, 1997.

    7 : En dépit d’une diffamation permanente orchestrée par les gras médias grecs et étrangers aux mains de l’hyper-classe mondialiste, L’Aube dorée résiste, ne perdant que 0,8 %, soit trois sièges en moins (18 au lieu de 21).

    8 : On appelle « qualunquisme » le mouvement « populiste » italien – le Front de l’Homme Quelconque – de Guglielmo Giannini (1891 – 1960), précurseur du poujadisme, qui exprimait la protestation des électeurs entre 1946 et 1949.

    9 : Entretien avec Christophe Guilluy, « Le second tour reste ouvert », dans Le Figaro, 26 avril 2012. Notons que Mélanchon a vu sa courbe dans les sondages commencer à diminuer après son discours de Marseille célébrant les mérites du métissage… Dans le même temps, sur les conseils avisés de son père Jean-Marie, Marine Le Pen revint sur les points fondamentaux du programme frontiste : l’immigration et les pathologies sociales qui en découlent. Le Front de Gauche a raté le tournant populiste comme en 1980 le P. « C.F. » de l’ineffable Georges Marchais le rata après avoir envoyé les bulldozers contre des foyers d’immigrés… La ligne nationale-communiste naguère défendue par Pierre Zarka a définitivement vécu.

    10 : Christophe Guilluy, « Le vote Marine Le Pen est, dans les faits, un vote de classe », dans Marianne, 28 avril – 8 mai 2012.

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  • Lucien, Robert, Pierre-Antoine et les autres...

    Les éditions Auda Isarn publient d'ici la fin du mois une anthologie d'articles tirée de la célèbre, et sulfureuse, revue Je suis partout, qui regroupait avant-guerre les plumes les plus talentueuses de la droite révolutionnaire (pour reprendre la terminologie de Zeev Sternhell) : Lucien Rebatet, Robert Brasillach, Pierre-Antoine Cousteau, Georges Blond, Claude Roy, Jean Fontenoy. Un ouvrage, préfacé par Philippe d'Hugues, qui viendra utilement complété l'étude qu'avait consacrée Pierre-Marie Dioudonnat à ce journal : Je suis partout - 1930-1944 (La Table ronde, 1987).

     

     

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    "On l’attendait depuis 68 ans ! Une anthologie de près de 700 pages des meilleurs articles (politiques, culturels) de l’hebdomadaire Je Suis Partout, couvrant toute l'histoire du journal (de 1932 à 1944). Retrouvez Robert Brasillach, Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, Céline, Henry de Montherlant, Jacques Perret, Thierry Maulnier, Lucien Combelle, Jean Azéma et bien d’autres signatures prestigieuses. Avec, cerise sur le cake, une cinquantaine de dessins (notamment du génial Ralph Soupault)."

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